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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 10:07

Des cy­ber-​ca­fés, en pas­sant par la pro­gram­ma­tion ou l'e-​com­merce de nom­breux jeunes de­man­deurs d'em­ploi ont su tirer parti de cette ex­tra­or­di­naire prouesse tech­no­lo­gique qu’est l’In­ter­net. Un exemple parmi tant d'autres de la ba­na­li­sa­tion pro­gres­sive d'In­ter­net: le ré­seau so­cial Fa­ce­book compte au­jourd’hui plus de 800.​000 membres en Afrique.

Le conti­nent compte 650.​000 abon­nés à l'In­ter­net et le nombre des in­ter­nautes est es­ti­mé à 2 mil­lions. Des chiffres qui ont pro­gres­sé de + 105% ces cinq der­nières année, avec un taux en constante aug­men­ta­tion d'une année sur l'autre.

 

L’ex­ten­sion d'In­ter­net en Afrique sus­cite les vo­ca­tions d’en­tre­pre­neurs et d’in­no­va­teurs

In­ter­net contri­bue sur­ement à sor­tir le conti­nent de son re­la­tif iso­le­ment. Les pra­tiques et sté­réo­types de com­por­te­ment éco­no­miques en vi­gueur dans les pays in­dus­tria­li­sés ten­draient même à s’y ré­pandre. Ainsi les par­te­na­riats avec des en­tre­prises si­tuées un peu par­tout en Afrique mais éga­le­ment à l’étran­ger per­mettent de tis­ser de nou­veaux liens éco­no­miques, mais éga­le­ment des pas­se­relles cultu­relles in­soup­çon­nées.

Par le biais de jeunes pro­gram­meurs afri­cains, le lan­gage de l’in­no­va­tion tra­verse la Mé­di­ter­ra­née. Les dé­ci­deurs afri­cains semblent eux-​mêmes prêts, à prendre leur part dans l’éco­no­mie mon­diale. Dans cette op­tique, une école pan­afri­caine d’in­tel­li­gence éco­no­mique et stra­té­gique ou­vri­ra bien­tôt ses portes à Dakar, au Sé­né­gal.

Cette ins­ti­tu­tion sera des­ti­née à doter les dé­ci­deurs afri­cains d’une for­ma­tion de haut ni­veau, se dé­cli­nant en mo­dules abor­dant les ques­tions liée à l’en­vi­ron­ne­ment in­ter­na­tio­nal et à la com­pé­ti­ti­vi­té des na­tions. Afin de mieux ren­for­cer les ca­pa­ci­tés des fu­turs dé­ci­deurs, l’am­bi­tion pro­cla­mée du pro­gramme est d’in­cul­quer l’In­tel­li­gence éco­no­mique comme ré­ponse ap­por­tée aux bou­le­ver­se­ments pro­vo­quée à l’échelle pla­né­taire par la mon­dia­li­sa­tion et la glo­ba­li­sa­tion. De quoi don­ner aux PME et fu­tures start-​ups afri­caines les armes mo­dernes pour se me­su­rer à l’éco­no­mie mon­diale de la connais­sance et de l’in­no­va­tion.

Le Kenya veut de­ve­nir la fu­ture Si­li­con Val­ley d'Afri­caine

C’est pour se mettre à la page de cette glo­ba­li­sa­tion que le Kenya s’est lancé dans une po­li­tique am­bi­tieuse en fa­veur des nou­velles tech­no­lo­gies, ap­puyée par l’éta­blis­se­ment de grands chan­tiers d'in­fra­struc­ture et de zones franches.

De­puis 2004, le gou­ver­ne­ment ke­nyan a en effet ini­tié une série de me­sures de pro­mo­tion des tech­no­lo­gies de l’in­for­ma­tion et des com­mu­ni­ca­tions, avec la vo­lon­té de faire du pays un centre de ser­vices off­shore. Plu­sieurs ac­tions ont été an­non­cées dans cette di­rec­tion.

D'abord l'ins­tau­ra­tion d'une ré­gle­men­ta­tion sur la sé­cu­ri­té et la confi­den­tia­li­té des don­nées in­for­ma­tiques. En­suite, la pri­va­ti­sa­tion de l'opé­ra­teur his­to­rique et l'at­tri­bu­tion de li­cences à des ac­teurs pri­vés. Enfin, l'amorce d'un chan­tier de mo­der­ni­sa­tion de l'état et une po­li­tique en fa­veur de la for­ma­tion et de l'en­sei­gne­ment su­pé­rieur tech­nique.

L’Afrique se câble en haut-​dé­bit

A par­tir de 2010, deux grands pro­jets d'in­fra­struc­ture re­lie­ront le conti­nent au monde via l’Afrique de l’ouest. Le pre­mier, nommé EASSY, es­ti­mé à 100 mil­lions de dol­lars, a pour but de re­lier les villes de Mom­ba­sa au Kenya et de Fu­jai­rah aux Emi­rat Arabes Unis. Le pro­jet TEAMS vise quant à lui à créer un back­bone sous-​ma­rin, lon­geant la côte est de l'Afrique, de l'Afrique du Sud au Sou­dan.

Ces in­fra­struc­tures, qui doivent être ache­vées d'ici fin 2008, per­met­tront de ré­duire le coût des com­mu­ni­ca­tions in­ter­na­tio­nales, prin­ci­pal frein au dé­ve­lop­pe­ment d'une éco­no­mie off­shore. A ce pre­mier axe s'ajoute la mise en place de zones franches pour fa­ci­li­ter l'im­plan­ta­tion de so­cié­tés de ser­vices.

Les ar­gu­ments en fa­veur de ce type d'ac­ti­vi­té sont nom­breux, avec no­tam­ment la pré­sence d'une main d'œuvre di­plô­mée ainsi qu’un fu­seau ho­raire com­pa­tible avec l'Eu­rope.


Liens: site de l'AEDEV

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