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Cameroun. Réseaux Sociaux : Paul Biya veut des ministres «Androïdes» Après avoir demandé le 11 février dernier, lors de la 50ème Fête de la Jeunesse, à la jeunesse dite Androïde de son pays, de saisir les opportunités qu’offrent les TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), le président Paul Biya prescrit à ses ministres d’être plus présents sur le World Wide Web.
22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 04:57

L’enseignement de cette matière est plombé par le déficit d’ordinateurs et le manque de personnel qualifié.

Depuis 2004, l’informatique a été introduite comme matière obligatoire dans les lycées et collèges du Cameroun. Six ans plus tard, cet enseignement a des difficultés à se faire transmettre. Un chapelet d’obstacles a d’ailleurs été égrené au cours d’un séminaire  consacré aux enseignants de cette matière. L’atelier qui a réuni plusieurs éducateurs de la région du Littoral s’est tenu le 25 novembre dernier au collège Bénédicte à Douala.  Ces derniers ont évoqué l’insuffisance d’ordinateurs. «Les trois minutes recommandés pour l’évaluation d’un élève en travaux pratiques sont difficiles à appliquer au collège où j’enseigne. Parce que nous avons seulement deux ordinateurs en bon état pour 100 élèves», déplore M. Essimi, enseignant d’informatique au collège Bénédicte. Pour Carine Ngatsi, également enseignante de cette matière au lycée du Manengouba, cinq ordinateurs seulement sont disponibles pour une soixantaine d’élèves.
Ces derniers soutiennent unanimement que le ratio élèves-machines est très élevé. Soit vingt élèves par machine. La session 2009 de l’examen de probatoire G2 a  d’ailleurs été perturbée à Douala. Le déficit d’ordinateurs étant la cause de cette perturbation. Un manque d’ordinateurs difficile à expliquer dans les établissements scolaires publics. Dans la mesure où les responsables de ces formations font payer 5.000 Fcfa aux élèves pour suivre ce cours.

Déficit
A la délégation régionale des Enseignements secondaires, on indique que ces frais servent à payer les prestations des fournisseurs d’ordinateurs. Une somme versée par chaque apprenant pendant deux ans. Les années suivantes, lesdits frais sont ramenés à 2.500Fcfa. Et  vont servir à la maintenance de ce matériel et à la rémunération des enseignants. Lesquels sont en majorité vacataires.
Malheureusement, le paiement de ces frais n’assure toujours pas l’utilisation de l’ordinateur par l’élève. Certains finissent l’année scolaire sans jamais avoir accès à la salle d’informatique.  Pour pallier ce déficit, il a été recommandé aux participants de scinder la classe pendant les cours pratiques. «L’enseignant doit diviser la classe en plusieurs groupes pendant la phase pratique de l’évaluation», a recommandé Mme Thérèse Bilong, inspectrice pédagogique d’informatique. 
Le problème de la formation de ces enseignements a également été évoqué par les participants au cours de l’atelier. Ces derniers sont des diplômés en Informatique ou en Réseaux informatiques, issus des écoles de formation. «J’ai une licence en Réseaux et informatique», indique Rudolph, un enseignant de cette discipline au lycée de New Bell. Il est clair que ces éducateurs ne disposent pas d’outil pédagogique pour leur discipline. «J’enseigne depuis dix ans et je n’avais pas les bases pédagogiques. Nous avons le bagage, pour avoir fait des études en informatique», confie Mme Bekombo Ongola, enseignante au lycée technique de Koumassi.

La première cuvée de ces enseignants étant depuis 2007, en formation à l’Ecole normale supérieure de l’université de Yaoundé I. La durée de la formation est de cinq ans, apprend-on. L’atelier organisé par la délégation régionale des Enseignements secondaires tombaient donc à point nommé pour ces éducateurs.
«Nous sommes partis d’un constat pendant nos différentes inspections, descentes sur le terrain. Les problèmes tournent davantage autour de la conduite d’une leçon en informatique. Les enseignants ont des difficultés à pouvoir enseigner certains chapitres. Ce sont ces chapitres que nous avons portés comme objectifs au cours de ce séminaire», indique un inspecteur pédagogique.
Par ailleurs, certains enseignants dénoncent l’indisponibilité du programme officiel. «Nous n’avons pas de programme officiel à notre portée. Nous sommes toujours obligés de courir alors que nos collègues des autres enseignements n’ont pas ce problème», déplore M. Essimi. Pour les inspecteurs pédagogiques, tous les programmes en informatique sont disponibles à la délégation régionale des Enseignements secondaires pour le Littoral. Lesquels n’attendent qu’à être retirés par les protagonistes. Des programmes qui concernent uniquement les élèves de sixième en Première. «Il n’existent pas de programmes officiels pour les élèves de Terminale. Nous ne savons pas sur quelle base, nous allons leur dispenser les cours si nous n’avons aucun canevas», dénonce Carine Ngatsi.

Sandrine Tonlio

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